Le projet Opquast logo_opquast

En 2003, le projet Opquast (Open Quality Standards) est créé par Élie Sloïm et Fabrice Bonny. Deux ans plus tôt, Élie Sloïm avait proposé le modèle VPTCS (Visibilité – Perception – Techniques – Contenus – Services), permettant de mettre en avant différents points pour avoir un site avec une qualité web optimale 1

Le projet Opquast permet de recenser différentes bonnes pratiques sur le web pour offrir un service de qualité. Deux listes sont déjà parues, en 2004 puis en 2010. La seconde recense pas moins de 217 bonnes pratiques.

Les bonnes pratiques sur le web

Pour définir une de ces pratiques, il y a un processus en trois étapes :

  • elle est d’abord proposée à un petit nombre de contributeurs ; arton153
  • elle est ensuite proposée à la communauté Opquast ;
  • elle est finalement adoptée ou refusée.

Pour qu’elle soit valable, la pratique doit remplir plusieurs conditions :

  • sa mise en œuvre doit être possible sans trop de difficultés ;
  • chacun doit pouvoir la vérifier en ligne ;
  • elle doit être universelle (compréhensible quelque soit le pays) ;
  • elle doit apporter un réel plus, une valeur ajoutée.

Toutes les bonnes pratiques sont classées selon un niveau hiérarchique de priorité. Cette organisation permet aux utilisateurs de visualiser ce qui est essentiel à mettre en place et ce qui l’est moins. Il existe trois niveaux de priorité :

  1. le niveau initial : il est indispensable d’appliquer ces bonnes pratiques pour offrir un service web de qualité ;
  2. le niveau intermédiaire : l’application de ces bonnes pratiques est essentielle ;
  3. le niveau optimal : appliquer ces bonnes pratiques n’est pas essentiel mais permettra d’optimiser la qualité du service web.

Outre un niveau de priorité, les 217 recommandations fournies par Opquast sont classées selon la nature de leur champ d’action :

  • offrir des alternatives à l’internaute ;
  • permettre un code source simple, clair et précis ;
  • agir sur les moyens de contact ;
  • identifier des contenus précis ;
  • mettre en œuvre du e-commerce ;
  • gérer les espaces publics ;
  • provoquer l’interactivité grâce au multimédia ;
  • créer différents types de formulaires ;
  • permettre une navigation claire grâce aux hyperliens ;
  • faciliter l’identification ;
  • élargir la visibilité avec les techniques d’internationalisation ;
  • aider les internautes dans la navigation ;
  • inclure une newsletter ;
  • soigner la présentation ;
  • optimiser la sécurité et la confidentialité ;
  • améliorer les serveurs et les performances ;
  • configurer les syndications de sites web ;
  • présenter des tableaux.

Vous pouvez vérifier si votre site respecte ces bonnes pratiques grâce à l’inspecteur qui se trouve sur le site internet d’Opquast. Vous retrouverez également sur le site la liste des 217 bonnes pratiques.

Les bonnes pratiques chez Mantalo Conseil

Chez Mantalo Conseil, nous nous attachons au respect des bonnes pratiques du web ! C’est pourquoi nous avons intégré dans nos développements de sites internet une validation des bonnes pratiques pour des sites web de qualité.

Et vous, comment les intégrez-vous à votre site internet ?